L’Horizon – la Création

la-creation-lhorizon

Hâte de vous partager le joie que je vis et les libérations de ces derniers temps, je travaille – je crée – d’arrache pied pour vous partager tous ces « secrets », en  mots (mon premier livre est en cours d’écriture…!!!!!!), en dessins, en prières, en soins, en rencontres…

Avec tout mon Amour <3,

Elise

Me re-co-Naître

serpent

Me laisser être, me laisser Être,
avec beaucoup de douceur, un peu de peur.

pomme

M’aimer…

Me rencontrer…

Pleurer.

«  » » » » » » » » » » » » » » » » » » » Vibrer, vibrer «  » » » » » » » » » » » » » » » » » » »
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Comme jamais !!!!!!!!!!!!!!!!!!

feux sur le lac

Rencontrer mon unicité,
mon trésor,
ma merveille.
Me nourrir, me nourrir.

Comprendre, comprendre,
connaître !
En un éclair,
une étincelle !

Lueur suprême de connaissance,
si proche de la jouissance…!

Qui Je suis.

Me re-co-naître.

Merveille !!!
comme je t’aime, comme je t’aime !

Toi qui est moi et moi qui suis toi.

Quelle si belle rencontre.
Ça pétille, ça jouit, ça vibre !
:-)))))))))))))))))

Quelle joie, mon dieu,
quelle JOIE
d’être SOI !!!!!!!

jardin-arc-en-ciel

Ode à ta naissance

Fermez les yeux,
Posez les mains sur votre ventre,
là, en votre centre.
Ici il y a votre soleil unique,
celui-là qui cherche à briller.
Il se sent à l’étroit ces temps-ci,
c’est qu’il a grandi.

Au départ il n’était qu’une infime lueur,
toute petite, il ne demandait pas grand chose
là, tapi dans l’obscurité.

Et puis, voilà qu’il s’est enflammé
il a voulu éclairer,
manifester toute sa beauté,
faire ce pour quoi il était fait,
il s’est mis à briller, briller !

Il a demandé plus d’espace,
il a bougé, oh ! Vous le sentez ???!!!
Il demande de l’espace, il cherche à trouver sa place,
il bouge, encore !

Ne sens-tu pas les coups qu’il te donne ?

Et toi tu déraisonnes, ballotté d’un côté
de l’autre de tes pensées,
resserrant alors cet espace sacré.
A lui seul il était alloué,
depuis que tu étais né !

Ecoute-le,
souffle, souffle comme le vent sur toutes ces pensées,
sur tout ce qui a été !
Il est là désormais.

Nul besoin de te battre,
de se refermer,
de le refuser, de le nier
juste l’écouter et le laisser,
ô le laisser s’exprimer !

Ecoute-le, je crois qu’il te chante une chanson,
oui, c’est cela il prend place dans sa maison.
Qu’il est doux, ô qu’il est doux
d’être enfin à la maison.

***

Te rappelles-tu ô Femme de ces cris,
de ce hurlement, rauque, animal,
ton corps tendu crispé, dans une douleur indicible,
t’avait livré le secret, celui-là, longtemps demeuré voilé ?

Te rappelles-tu la peur, peur de mourir, peur de t’évanouir,
peur de ne pouvoir y parvenir,
sensation que ce fut impossible,
l’envie de renoncer,
l’impression pourtant de ne pouvoir y réchapper,
de devoir finalement céder,
au risque peut-être, d’y rester ?

Te rappelles-tu alors de cette infinie clarté
de ce bien-être inespéré
au moment où il est né ?

***

Il est tout jeune,
si fragile,
c’est un bébé,
il a besoin d’être câliné,
il a besoin de se reposer,
il a grand besoin de calme et de paix.

Il réclame tant de nourriture !
Un abri, un changement dans le rythme de vie,
il demande à ce que tu vois le monde avec d’autres yeux !

Il demande à faire connaissance,
il réclame toujours plus de présence !

Parfois, souvent même il pleure, il crie
et tu ne sais pas encore bien ce qu’il dit
et tu te désespères,
et tu te perds,
et tu te sens perdu, démuni et confus,

Mais patience…!

Ce n’est là que le début d’une aventure immense
en route vers l’expression de celui que tu es.

Ce soleil-là qui ne demande qu’à briller,
depuis que tu es né.

Le monde a besoin de toi

Le monde, en ce moment-même a besoin de toi.

Ce vieux, là, tout de suite, est attaché à son lit,
il avait envie de marcher, il avait envie de vivre !
Lui, être humain devenu si faible,
je l’ai trouvé, là, les yeux exorbités,
un moment privé de son humanité, il n’a pas pu parler, non, il criait, de ce râle dans sa voix devenue animale : « à boire, à boire !”
Je m’approche, l’embrasse pleurant, implorant le ciel qu’il me donne la force de pardonner,
pardonner cette méprise de l’humain constante, pardonner ce que je ne comprends pas.
Je le serre, lui dis tout mon amour, la lumière revient, il prononce alors ces mots : “ils m’ont attaché, moi, ils m’ont attaché comment est-ce possible, comment est-ce possible ?”
Un peu plus tard, sur le seuil de la mort pourtant encore empli de Vie, il se lèvera du lit à barreaux, arrachera sa sonde, se hissera, autant qu’il peut avec ses dernières forces, on lui rétorquera alors : “folie, folie!”
Mais moi je dis pulsion de vie !
Attaché dans son lit, il est en sécurité, sa mort retardé, sa vie – survie – préservée.

Ceux-là, un peu trop sensibles sont attachés aussi dans leur lit,
ils sont jeunes, parfois très jeunes, on leur a dit qu’ils étaient fous.
C’est qu’ils sont capables de sentir ce que d’autres ont repoussé loin loin !

Celui-là, bien conscient que l’Homme a besoin d’amour, de liberté, de joie et d’entraide
a finalement décidé de se piquer, un petit shoot vaut mieux que de voir cette réalité ;
ce paradis qu’il sait possible sur terre, désormais il l’a trouvé, pour un temps,
avant qu’il ne se transforme en enfer.
Et lui qui boit pour oublier, oublier, ne plus sentir !

Et toi, toi, qui te sens victime,
toi, toi, qui te sens coupable,
toi qui te sens différent,
toi qui te sens rejeté,
toi, retranché derrière ces étiquettes rassurantes, anesthésiantes de tes troubles divers et variés,
tu sais, tu sais au fond de toi, que tu as besoin d’autre chose,
que le monde a besoin de toi !

Oui, c’est difficile, c’est peut-être même la chose la plus difficile,
accepter de se réveiller.
Réveille-toi, éveille-toi maintenant !
Le monde a besoin de toi, j’ai besoin de toi,
nous sommes si nombreux aujourd’hui à œuvrer pour un monde nouveau,
à œuvrer pour la lumière, tapis dans l’ombre.
Tu en fais partie !
Et ce n’est pas le succès que tu rencontreras,
ce n’est pas la reconnaissance que tu attends désespérément,
ce n’est pas l’arrêt du ressentir,
ni même l’arrêt de la tristesse qui peut faire pleurer le cœur de celui qui aime.
C’est tout autre chose, ô dieu tout autre chose qui va doucement s’éveiller en toi,
tu ne peux pas l’imaginer, tu n’as pas idée !
Et pourtant, c’est là, ici et maintenant,
il te suffit d’arrêter un instant de lutter,
de t’asseoir, calmement et d’écouter.

L’amour, l’amour tout autour, tu peux le sentir, depuis toujours.

Tu quitteras d’abord ce lourd manteau, toutes ces choses dont on t’a affublé,
tu n’en a plus besoin.
Oublie ! Oublie tocs, angoisse, dépression, phobie, psychose, maladie !

Moi j’entends besoin besoin de Vie !

Ouvre les yeux, là maintenant, regarde tout autour de toi,
regarde en toi, toute cette colère, de te sentir victime,
de te sentir malade,
de te sentir différent,
mais ils ne savent pas !
Ils ont peur comme toi !
Et tu es capable, plus que tout autre de sentir ces peurs,
tu les as même fait tiennes jusqu’à aujourd’hui,
il est temps de te réveiller, de te re-trouver !

Pardonne, pardonne à ceux qui t’ont rejeté, à ceux qui ont frappé,
à ceux qui te méprisent, c’est leur propre méprise qui les fait agir ainsi !
Ils ne savent pas, pardonne-leur, ils font partie de toi, ils ont besoin de toi, nous sommes reliés, reliés !
Je ne sais pas s’il existe un dieu, des anges, mais je sais, je sais qu’il existe une incroyable magnifique chaîne humaine, lumineuse, qui nous unit, oui !
Tu peux te connecter dès maintenant à cette chaîne d’amour !
Pardonne, pardonne !
Tant que tu en veux à la terre entière, tu t’en veux à toi-même.
Pardonne à toi-même aussi.

C’est toi, être sensible, qui détiens les clés plus que tout autre, tu es capable de sentir la peur, la souffrance, tout autour, tu es capable aussi de sentir l’Amour, et tu le sais.
Ici et maintenant
c’est toi que j’attends,
seul, l’être humain n’est rien !

C’est ensemble, ensemble que nous changeons le monde !

Chaque fois que ton regard s’éclaire,
chaque fois que tu fais rayonner ta lumière,
chaque fois que tu dis des mots d’amour à tes enfants, à l’autre,
chaque fois la terre entière en bénéficie,
oui, je te le garantis !
Chaque fois que tu crois en toi, que tu écartes ces paroles, ces pensées si loin de l’humain, de sa nature, divine, lumineuse, chaque fois c’est une énergie énorme que tu déploies qui va droit au cœur de la chaîne, qui nourrit chaque cœur instantanément !
L’humain a besoin d’amour, de respect, de joie, de bonté, de rire, de compassion, aussi, quand il se sent triste, tout cela qui fait que tu es humain, qu’on t’a appris, oui, je sais ! A écarter ! Tout cela, retrouve-le aujourd’hui avec confiance.

Sois sûr, soit sûr que tu œuvres alors pour l’humanité, il te suffit de fermer les yeux et de sentir, oui, sentir, savourer cette merveilleuse énergie que tu déploies simplement à aimer.

Instant de grâce

                                 Mandala centrer

Premier contact avec le cœur de l’humain.
Ce moment est un moment magique qui devrait être donné à tout être humain.
Entrer en contact avec son cœur, Être.

Après l’apaisement, la méthode, la bonne pour moi,
celle qui avait fait cesser mon mental,
celle qui avait déconnecté le travail,
celle qui avait déconnecté la peur,
parce qu’enfin, cela ne venait plus de personne,
cela ne venait plus de l’extérieur mais de moi,
du plus profond de moi-même,
avec cette union, la protection de cette “énergie”, cette lumière, ce quelque chose d’innommable.

Alors, le contact s’était fait.
Magique. Puissant. Doux. Infiniment doux.

L’intensité, la violence, la douleur de tout ce qui était arrivé précédemment lors de libérations initiées de l’extérieur, par quelqu’un d’autre, avaient laissé la place à la douceur, la source, l’écoulement, clair, doux, familier, venant du plus profond de mon être.

Je ressentais pour la première fois cette énergie en moi, enfin coupé de toute stimulation extérieure, retour à la source.
Je découvrais alors ce qui était en moi,
alliance merveilleuse de mon cœur, de mon esprit, de mon âme.

Tout le reste, l’immensité, le brouillon,
le Tout s’effaçait pour laisser place à la clarté, l’unique, l’essentiel, l’Essence.

Alors soudain mon chemin, non LE grand chemin, intense, flou, violent mais celui, pur, clair, celui du Moment, de mon moment, de mon instant présent:
Mon amour, mon désir, ma pensée.
Doux moment de solitude, de rencontre avec moi-même.

Le lien se crée, la source jaillit, la rivière s’écoule, lentement, paisiblement dans mon corps apaisé, rasséréné.
Les larmes coulent, un sentiment de profonde gratitude m’envahit soudain, un léger sourire sur mon visage.
Je vois exactement, par ces pensées claires et précises ce qu’il me convient de faire en cet instant: l’étude, le témoignage, l’écriture, l’Amour à transmettre, à partager.

Le coeur de l’humain

Aujourd’hui, petite dédicace à ces personnes qui réchauffent mon coeur et qui, quelque part, sans le savoir, me soutiennent, m’inspirent et nourrissent mon voyage, et certainement le font-ils pour tant d’autres personnes.

Ces trois personnes témoignent pour moi de la beauté de l’humain dans sa belle sensibilité, sa délicatesse, sa créativité, son amour et son doux paradoxe.

Pour commencer, la gracieuse, délicate et merveilleuse petite fée Léa (Ma boîte à passion), qui rayonne d’amour et d’humour (ce genre de personne dont les yeux scintillent et dont vous sentez une énergie particulière) qu’elle dispense, entre autres, à travers ces messages qu’elle diffuse dans son hall d’immeuble:

Sourire

Besoin de poésie

Ou encore…

Rayon de soleil

Pour en voir d’autres, c’est ici. 🙂

Extrait magnifique d’un texte de Cédric (Les états d’âme), intitulé joliment Soleil, instant de grâce:

« […] A la sortie de cette forêt se pose sur un champ une éclaircie imprévue, inattendue. Je vois ce soleil s’allonger sur cette végétation et en décupler l’intensité de ses couleurs. Le ciel semble passer du gris au bleu. La nature se réveille!
A ce moment, une émotion de plaisir, de joie, une belle émotion s’empare de moi allant même jusqu’à me donner l’illusion d’une vision plus précise, plus nette comme si mes pupilles s’ouvraient au maximum pour profiter du spectacle! Comme l’examen méticuleux d’une oeuvre d’art, que l’on inspecte jusqu’à ses moindres détails. Je profite du spectacle malheureusement éphémère en Normandie. A l’image d’un gros fruit qui nous nourrit, je me gorge de ce bonheur furtif. […] »

Et enfin, divine écriture symbolique faisant le rapprochement éloquent entre l’union de deux corps et la Vie, extrait de L’existence, ce coït (Live and Think):

« L’existence est un coït…
Nul bien, ni mal mais bel et bien un perpétuel va-et-vient.
Aller et venir bestialement, souvent machinalement, avec créativité et sentiments, tenant compte d’une cadence qui nous est propre, que l’on recherche;
aller et venir entre les jambes de l’existence qui a autant de mystères, de secrets que de reliefs, de monts irréguliers à escalader.
Qu’est-ce qu’un coït si ce n’est l’appel du monde désiré, à cheval entre le bestial,  l’égoïsme total et la douceur raisonnée à la recherche d’un plaisir altruiste et partagé, d’un désir qui flotte entre l’ici et maintenant et l’irréalité.

La vie est un coït ininterrompu, cause d’une souffrance étrange; l’inassouvissement constant d’un désir assouvi en l’instant, sans cesse renouvelé par l’ardeur, ce feu préhistorique qui nous consume. […] »

Quelle belle nature humaine, pour peu qu’on la laisse s’exprimer.

MERCI ❤

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Photographie de Léa dans Ma boîte à passion.

DSM et troubles psychiatriques, vers une nouvelle vision de l’humain – partie 1 –

Note : aujourd’hui, trois ans après, j’accompagne les personnes, en mots et en soins énergétiques, et je forme à l’Art de la guérison, pour plus de renseignements, je vous invite à vous rendre sur http://www.etrehumain.fr. A lire aussi ceci, écrit plus récemment : la Dé-pression, j’entends des voix, je vois des signes partout, à me rendre fou, à bientôt, peut-être « en vrai » 🙂 !

Vous venez d’une famille “sensible”, “fragile nerveusement”, un père, une mère, un oncle, un grand-père dépressif, anxieux, bipolaire, un suicide dans la famille…
Pensez à la peur énorme logée sous ce couperet familial.
La génétique, la science qui s’en mêle.
Vous connaissez (un exemple de connaissance mortifère?) le risque, la probabilité d’être atteint des mêmes maux.

Imaginez la lutte incessante, dans votre mental, dans votre vie.
Imaginez l’énergie déployée dans cette lutte.
Imaginez combien toute votre énergie est tournée vers cette peur.
Vous croyez qu’il est juste d’user de cette énergie, que c’est indispensable.

Vous vous trompez. Cette énergie est un voile qui masque la vie.
Ce n’est plus la vie qui vous gouverne, c’est la peur.

Imaginez que chaque fois que vous vous sentez “faillir” (là où se situe votre “faille” dépendra de votre histoire familiale ou de votre plus grande peur), vous vous jugez, un jugement implacable.
Vous ne devez pas faillir, être faible.
Vous croyez, en fuyant cette faiblesse, en mettant toute votre énergie dans cette fuite, être fort.

C’est tout le contraire en fait.

Vous venez d’une famille dépressive

Alors, ce jour-là, alors que vous êtes un peu fatigué, beaucoup plus que d’habitude en fait, vous allez perdre cette “force” que vous avez d’habitude, qui fait votre fierté.
L’envie de pleurer. Vous pleurez, vous vous couchez.
Chez une autre personne qui n’a pas les mêmes peurs que vous, cet épisode somme toute banal de tristesse dans la vie d’un humain ne prendra pas les proportions que l’on va constater chez vous.

Cette baisse de forme vous effraie, atrocement.
Vous avez terriblement peur en fait.

Vous croyez, vous avez l’illusion que vous devez mettre toute votre énergie au service de cette peur: la peur de la dépression, la peur d’être dépressif.
Vous croyez que toute cette énergie vous protège.
Cette énergie vous propulse droit vers cette peur.
Cette énergie vous épuise.

Votre corps d’humain en vie (à ce moment délicat de votre vie, vous avez beaucoup travaillé, vous avez eu de gros soucis) vous réclame ce que, depuis toujours, vous ne lui permettez pas: lâcher prise, se reposer, pleurer un bon coup, crier, vous rebeller.

Mais chez vous, qui avez atrocement peur de tout ce qui s’apparente à la dépression (que vous avez vu, par exemple, chez votre mère et/ou dont vous aurez entendu parlé à maintes reprises aux “informations”), cela prend des proportions énormes.

Et là, je pense aux travaux sur le conditionnement humain, les réflexes de Pavlov etc.
On est en plein dedans!
Le cerveau repère des signes: fatigues, sommeil, larmes etc. qui le ramènent à cette vision, cet apprentissage qui doit mettre en alerte: attention danger, signes de dépression.

Vous êtes très intelligent, très bien informé. Vous êtes très mentalisé.

Vous vous mettez alors à cocher les cases, vous consultez votre médecin, le verdict tombe, oui, vous êtes bien dépressif, en dépression.

Voilà que le cercle vicieux prend forme.

Si vous avez de la chance (entourage aidant, rencontres enrichissantes, stimulantes, ressort individuel etc.), vous vous en sortirez après quelques mois atroces et vous aurez un regard neuf sur la vie, ce sera comme une renaissance, une renaissance salutaire.

Mais peut-être ferez-vous partie de ces personnes cataloguées à vie, emprisonnées dans ce cercle vicieux entretenu par la société toute entière et par de nombreux médecins malgré eux du: “je suis comme ça, je suis fragile nerveusement”.
Et vous serez sous traitement à vie.

Prisonniers de votre âme, prisonnier de la vie en vous qui cherche désespérément à poindre.

Ceci doit cesser, ceci va cesser.

Réveillez-vous. Eveillez-vous.

Ce psychiatre, qui coche ses cases, qui sort sa bible.
Celui-là a peur autant que vous.
Celui-là est ignorant.
Tellement ignorant…
Il n’en sait pas plus que vous.
Vous seul êtes le mieux placé pour vous connaître.
Vous êtes avec vous-même depuis si longtemps!

N’ayez crainte, faites baisser d’un degré la crainte.
Ecoutez votre corps, c’est difficile, si difficile au début mais vous y arriverez.

Vous allez apprendre à calmer votre mental, vous trouverez partout de nombreux moyens tous utiles et intéressants pour le calmer.

“All in all you are a very dying race,
placing trust upon a cruel world”

La suite ici